Le choix de ceux qui ont tout compris*

2009-en cours, Bretagne

(extrait)

Route de la Corniche, Trévignon, mai 2011
Route de la Bole de Merquel, Mesquer-Quimiac, août 2012
Parking du Lérat, Piriac-sur-mer, août 2012.
Parking du Lérat, Piriac-sur-mer, août 2012.
Rue des Iles, Raguénez, mai 2011
Parking du Lérat, Piriac-sur-mer, août 2012.
Le Guilvinec, mai 2013
Pointe de Trévignon, mai 2011
Kerstalen, Raguenez, mai 2011
Kerstalen, Raguenez, mai 2011
Route de la Corniche, Trévignon, mai 2011
Route de la Corniche, Trévignon, mai 2011
route de la Bole de Merquel, Mesquer-Quimiac, août 2012
Le Mont Saint-Michel, février 2010
Route de Port Lazo, Plouézec, février 2018
« En général on reste entre une ou deux nuits. Après ca dépend des endroits, il y a des endroits où on reste une semaine. Ce qui décide c’est le paysage. On cherche des endroits un peu sauvages comme ici, mais pas seul. Hier soir on a demandé à des gens si ils restaient, comme il restaient on est resté. Les camping privés on le fait à peu près une fois par semaine parce qu’il y a du linge à laver. »
M. C, Hillion, avril 2018.
Port Guibello, St-Pierre-Quiberon, juillet 2018
« - C’est un Combi T2 Volkswagen, il date de 1973. C’est mon premier véhicule, j’ai eu ce véhicule j’avais 20 ans. Je l’ai toujours gardé. J’en ai 42 maintenant donc ca fait 22 ans que je l’ai. On est parti tout de suite avec. - Oui dès le premier été, c’était quoi ? … 1998. - Oui, c’est ça. On part pour les vacances ou pour les saisons d’été. - A la base je suis passionné par les Combi Volkswagen. Donc je voulais un Combi Volkswagen. Je l’ai acheté 11.000 fr. ce qui ferait à peu près 1600€, moi ca m’allait bien, c’était vraiment dans mes cordes à cette époque là. Maintenant j’ai trois Combis, deux T1 autrement, les pare-brises coupés en deux avec le V devant. Qui sont dans un très bon état aussi. Le combi c’est vraiment le loisir, c’est vraiment de pouvoir dormir proche de l’eau, d’être libre. - Oui, être libre, manger où on veut, dormir où on veut, dans un endroit qui nous plait. - Toujours avoir cette vue sur la mer, ça c’est vraiment important.»
M. & Mme. M, Saint-Pierre-Quiberon, juillet 2018.
La Béchue, Pordic, juin 2018
« Avec le van on a pas tout cet aspect restriction d’accès lié au camping-car. Là c’est la deuxième année. Pour nous jeune couple dans un état d’esprit nature, c’est l’idéal. Ca permet de faire de la rando et pas forcément de faire que de la rando, d’être libre de A à Z sur les vacances. Si on a envie de se poser, à n’importe quelle heure, on n’a pas de contrainte liée au temps, aux réservations. En plus on a le chien, et ils ne sont pas toujours acceptés partout. On ne se limite pas on peut partir au dernier moment sans rien réserver. On a l’application Park for night pour regarder pour la nuit ou il y a des coins plutôt nature. Le but c’est d’être à peu près peinard. On fuit le parking avec plein de camping car partout. Après si on a pas le choix ça ne nous dérange pas pour une nuit. Ca ne nous dérange pas d’être avec d’autres gens, mais pour toutes les vacances non. Notre but c’est d’être dans la nature. Hier on n’a pas dormi là, hier soir il y avait plein de monde qui pique-niquait ici. L’emplacement était plein, donc, en fait, on a été se mettre plus haut, au bout de la rue, pour passer la nuit tranquille. Ce matin on s’est dit tiens, on vas aller prendre le petit déjeuner au soleil.»
E. et J-B., Pordic, juin 2018.
La Cotentin, Planguenoual, février 2018
« Avec un CC vous avez le privilège de vous mettre à un endroit et d’admirer un paysage auquel vous ne pouvez même pas accéder en location. Vous allez rire, mais il y a qq années quand je venais ici je me mettais sur le côté, là vous voyez. J’ai installé mon Nugget sur cette plate-forme et personne m’a rien dit. On était les rois du pétrole, je ne gênais personne. On pouvait descendre. Maintenant il y a des bornes. Vous aviez des endroits privilégiés comme ça. Je me mets dans des endroits comme ça, dans des endroits ou ce n’est pas marqué interdit aux camping-cars. L’autre fois un gars, qui faisait du footing, s’est arrêté pour me dire " qu’est ce que vous faites là ? c’est interdit ! et la protection du littoral ! " .»
M. V., Plérin, juin 2018.
Plage des Sables Blancs, Plouharnel, août 2018
« Ca fait une dizaine d’année que je pratique. Celui-là c’est un vv T6 California, il a 3 ans. Ce qui m’a décidé c’est le côté pratique, de pouvoir rester sur place, près de l’eau, et quand il y a de la vague de partir avec. Parce que je n’habite pas près de la mer, je viens de Pontivy, et que j’ai besoin de ça, et ça permet de partir en vacances partout. Je ne sais pas si c’est le loisir qui motive l’utilisation, ça va avec. Je fais du surf, avant c’était la pèche. C’est pareil, j’ai aussi le matériel de pêche, y’a tout la dedans. L’avantage par rapport à un camping-car c’est que ça passe partout et c’est aussi le véhicule de tous les jours. Je m’en sers au quotidien et je n’ai pas d’autre véhicule. Je passe tout mes temps libre dedans, les week-ends les vacances, hiver, été. Ca fait beaucoup de nuits dedans. Ici je viens souvent, c’est pas loin. Il y a plein d’endroits comme ça sur la côte, où on peut poser le camion, où il y a des activités à faire : pêche, rando, surf. Je prépare rien du tout, il est toujours prêt le camion. En fait quand je pars j’ai juste à mettre de l’eau dedans, préparer mes toilettes et remplir le frigo, c’est tout.»
M. L., Plouharnel, aout 2018.
D768, Forêt Domaniale de Quiberon, Plouharnel, août 2018
GPS : N 47°34’31.0728” W -3°8’3.948” Adresse : D768, 56340 Plouharnel
8 places sur terrain de dune. Près de la route nationale. Calme hors saison. Bien situé à 300 m de la plage côté océan et proche du camping côté baie. En saison à 100 m arrêt du tire bouchon (train) pour se rendre à Quiberon. Bien pour une nuit pour la visite de la presqu'île et pour ne pas être dans les bouchons en saison d : 28934 - Créé le 26 09 2015 par randodu56
le 24 04 2018 En dépannage pour une pause repas ou nocturne. Le giratoire à proximité rend le lieu bruyant entre les freinages et les accélérations des véhicules. Dunes et plages à proximité. RV31
le 13 12 2017 Ce n'est pas un lieu de stationnement, c'est un petit espace ensablé à côté d'un rond point. Arrêt toléré sûrement pour dépanner, c'est en bordure de l'axe Plouharnel Quiberon, très passant... Ya clairement mieux dans le coin. GhostData
le 18 08 2017 Pratique pour dépanner une nuit ou pour aller à la plage la journée. On peut entendre l'océan mais seulement quand le trafic routier se calme, ce qui n'est pas évident. Il y a pas mal de circulation. Le train (tire-bouchon) est moins bruyant. Lily22088
le 12 08 2017 Inespéré dans ce secteur où le camping-car est surveillé de près, bel environnement malgré circulation matinale. patbert45
le 22 07 2017 Nice spot, through traffic very busy in July. moved on by police after 2 nights. pmay99

park4night.com
Avenue Duguay Trouin, St-Pierre-Quiberon, août 2018
« Les gens investissent trop dans leurs camping-cars donc ils ne prennent pas les routes qu’on prend nous, ils prennent uniquement les grands axes, nous on cherche les petites routes, pas les grands axes. On aime bien être seul. On s’arrête ou on veut. Il n’y a pas toujours deux places. Ici ca vas, il y a de la place. Il y a des endroits où il n’y a que deux trois places. »
M. H., Le Palus, avril 2018
Plage de Lermot, Hillion, juin 2018
« Je fais du camping-car parce que quand j’étais adolescent j’étais scout, donc j’étais près de la nature. J’ai toujours été près de la nature. Avant le camping car, j’ai eu une caravane, et une toile de tente. J’allais plutôt à la montagne, en camping avec toile de tente, après avec la caravane. Le camping car c’est depuis 1986, ca fait donc 32 ans. C’est le deuxième camping-car. Le premier c’était aussi un Westfalia qui s’appelait Nugget, il était formidable, il avait le toit qui se levait, il n’avait pas les toilettes comme celui là. Quand je l’ai mis en vente je l’ai vendu au premier client, il était en parfait état. Je l’avais depuis 20 ans à peu près. Et après j’ai acheté le Colombus à la foire de Paris au Bourget. Là c’est un fourgon avec un certain confort, y’a le frigo, y’a la salle de bain, il y a un lit permanent dans le fond. Moi je suis un baroudeur en camping-car, je vais rarement dans les terrains fréquentés par tout le monde. On vas toujours dans des endroits comme ici ou il n’y a pas grand monde.»
M. V., Plérin, juin 2018.
Port Goulom, St-Pierre-Quiberon, juillet 2018
« Il faut que ce soit costaud, bien fait. C’est vrai que l’aménagement il est super bien fait. Les placards tout quand on voit qu’il a donc une quarantaine d’années c’est incroyable. Je trouve qu’il n’est pas dépassé. On n’a jamais eu trop de problème, les moteurs ils sont costauds. Il nous coute pas cher, oui il ne nous coute pas très cher. - Ce qui vas être le plus cher c’est l’essence. - Oui l’essence… Mais après… après on s’en sert que l’été, on s’en sert pas beaucoup durant l’année. Le reste du temps il est au garage. On va s’en servir deux mois par ans à tout casser. Alors là avec les nouveaux contrôles techniques il va y avoir pas mal de modifications à faire, des réparations. Avant il passait maintenant il ne passera plus, donc il y a un petit budget à prévoir. On va se mettre à la page.»
M. & Mme. M., Saint-Pierre-Quiberon, juillet 2018.
Plage de Caroual, Erquy, avril 2018
« Maintenant vous avez de plus en plus de camping-caristes. Vous avez des gens déjà qui achètent des camping-cars, je ne sais pas si vous voyez, qui valent 70 à 100.000 euros. Les gens maintenant ils sont chez eux, bien enfermés. C’est à qui aura le plus beau. Avant on avait l’esprit de camaraderie, c’était vraiment du camping-car, on s’entraidait. Maintenant, non, c’est chacun pour soit. »
M. H., Le Palus, avril 2018.
Pen er Lé, Plouharnel, août 2018.
« Avec l’arrivée à la retraite on a plus le temps. Parce que quand on est en activité les vacances elles sont courtes finalement. Ah ! oui c’est vrai. Mon mari a toujours pensé que le camping-car permettait de partir quand on veut. Oui partir quand on veut. On a plus besoin de louer. Si on a envie partir demain on part. Partir deux jours, trois jours, une semaine, quinze jours… être libre. Oui et puis visiter le pays, la France. On pratique le vélo, la course à pied, la marche nordique, randonnée en montagne, randonnée à la campagne, dans le marais. Le camping-car pour toutes ces pratiques c’est bien. Si on a envie de faire du vélo on en fait, si on n’a pas envie c’est pas grave, mais toujours est il qu’on a les vélos. Ils sont là. »
M. & Mme. F., Plouharnel, août 2018.
Rue du stade, St-Pierre-Quiberon, août 2018
« A l’époque on pouvait se garer n’importe où, alors que maintenant c’est règlementer de partout. En 15 ans l’évolution c’est terrible. Y’a des aspects positifs mais y’a des aspects négatifs. Maintenant il y a des gens qui laissent trainer des choses partout, qui jettent leurs poubelles n’importe ou. Ces comportements ca n’existaient pas à cette époque là. Tout le monde se saluait d’ailleurs, on descendait du camping-car on disait bonjour, on buvait l’apéro ensemble. Maintenant c’est tout juste si les gens vous disent bonjour. Parce que ca s’est rajeunis, avant on était que des anciens. »
M. C., Hillion, avril 2018.
Port Kerné, Quiberon, août 2018
« Avant on allait en camping en toile de tente. Le confort d’un camping-car par rapport à une toile de tente ca n’a rien à voir. Un camping-car c’est une maison. C’est une petite maison. Il y a une énorme différence. Quand on a gouté à ça c’est difficile de revenir en arrière. De repartir en toile de tente, non ! c’est pas possible. »
M. R., Plouharnel, août 2018.
Rue Pierre Loti, Paimpol, août 2018
« - Maintenant on discute de moins en moins, les gens il deviennent… je sais pas… avant c’était sympas… tout le temps le bonjour, on a même bu l’apéro. J’ai l’impression que les nouveaux camping-caristes il sont… on est chez nous, c’est chacun chez soi. Après il y a encore des anciens. En sept ans ca a changé. - C’est moins… c’est moins familial on va dire. - C’est un peu plus chacun chez soi. Ils ont du mal à discuter. Ils ferment leurs volets. Ils ne veulent pas qu’on voie chez eux. - Mais bon t’as encore des anciens, avec qui ça vas encore. Hier on discutait avec un monsieur, faut tomber sur des anciens. Avec les nouveaux camping-caristes c’est un peu plus chacun chez soi. »
M. et Mme. L., Hillion, 2018.
Les sables blanc, Plouharnel, août 2018
« Ce qui m’a décidé à acheter un camping car c’est ça, tout simplement, c’est la pêche. Autrement je sais pas si j’aurais acheté un camping car. Ca me permet de stationner sur le lieu de pêche en fin de compte. Ici on est là on a juste 300 m à faire. Tandis que sinon sans camping car on est obligé de rentrer tout les soirs. Moi je suis à 50 km d’ici, ca le fait pas ! Avant je venais à la pêche en voiture. Je partais de Pontivy, je faisais toute la marée montante, je revenais à la maison j’étais claqué. C’est pour ça que je suis passé au camping-car. J’amène les vélos, le Kayak qui se casse en deux, je le mets dans la soute. Un week-end sur deux je suis parti quasiment, qu’il pleuve qu’il vente. Ca ne me dérange pas. Quand je vais à la pêche c’est pas la flotte qui vas m’arrêter. Le pur breton ! Quasiment toute l’année, l’hiver aussi, il y a un passage entre janvier et mars on sort un peu moins, c’est des mois qui sont assez froid.»
M. R., Plouharnel, août 2018.
Le Palus, Plouha, juin 2018
« On fait de la randonnée et du vélo. On dit toujours qu’on fait de la bicyclette parce qu’on ne force pas. Ca permet de se garer loin et de s’approcher des centres villes. Sinon on fait de la rando toute l’année. Aujourd’hui on est allé à Pleneuf, par le GR. On est parti ce matin, on a mangé dans un petit restau, puis retour cette après midi. C’est souvent comme ça, que ce soit à pied où a vélo. Deux bonnes heures allé, deux bonnes heures retour. En quatre, cinq heures on s’est fait plaisir, on est pas fatigué. »
M. et Mme. J., Erquy, avril 2018.
Les sables blanc, Plouharnel, août 2018
« - Ca c’est un camping car qu’on a acheté neuf il a 4 ans. On a fait de la tente, après on louait des caravanes, après nous sommes passé à la location de mobil-home et on a aussi loué des gites. On est passé par toutes les formes de vacances. Avant c’était compliqué, fallait louer et on n’était pas sur de se plaire là ou on était, alors on a pensé qu’un camping-car c’était plus simple pour avoir une liberté de changer de coin. - D’habitude on a un scooter, quand on est que deux. Mais là on a notre petite fille avec nous, donc cette année ce sera le vélo. Sinon on marche, des petites marches, comme ça autour du camping, à proximité. On a fait du paddle aussi.»
M. et Mme L., Plouharnel, août 2018.
Port Kerné, Quiberon, août 2018
« Nous faisons du camping-car depuis 1999, ça fait 19 ans. C’est notre deuxième camping-car, celui là il date de 2003, à chaque fois des achats neufs. Avant on partait en caravane. Ce qui nous a décidé c’est l’autonomie, la liberté. Le fait d’avoir des enfants petits, bébé d’ailleurs à l’époque, ça permettait d’être plus facile à gérer. A l’étape on pouvait facilement les changer. C’était pour aller partout facilement. Et pour les visites familiales, le gros avantage d’un camping car c’est que, quand on arrive dans la famille, on n’envahit pas, on dort dedans. Il y a 7 couchages et six places cartes grises, c’était déterminant. La disposition permettait d’avoir tous les enfants couchés et une dinette qui restait libre. Les enfants étant petits au départ, l’avantage était qu’ils dormaient et nous on avait une table pour lire, pour jouer, toujours accessible. »
M. M., Plouharnel, août 2018.
Port Kerné, Quiberon, août 2018
« On l’a acheté d’occasion. C’est pas un habitacle très actuel comme il se font maintenant avec un lit centrale. Mais on a quand même un grand espace, on a tout la douche, les sanitaires, le frigo… un petit chez soi. On a même la télé avec une antenne satellite et des panneaux solaires qu’on a fait installer. On a directement acheté, je l’avais trouvé d’occasion sur un journal. Ce qui m’avait arrêté c’est le prix pour le nombre de kilomètres et l’âge. Le propriétaire l’avait depuis cinq ans et il n’avait pas dépassé les 8000 km, il était comme neuf. Et le prix c’était quasiment la moitié d’un neuf. Je me demandais s’il n’y avait pas quelque chose de caché. Alors j’ai fait venir un copain de mon fils qui s’y connaît. Il a regardé partout, il est monté sur le toit et il a dit : "si tu ne l’achète pas moi je le prend". Neuf, il devait valoir dans les 50.000, on l’a eu à 24. »
M. et Mme L., Hillion, juin 2018.
La Ville Rouault, Pordic, juin 2018
« Ca fait cinq ans, depuis la retraite. C’est mon deuxième camping-car. On commence par un truc pas trop cher voir ce que ca donne. Si c’est pas valable c’est dur à revendre. On va encore rechanger en septembre, pour améliorer encore le camping-car. Pour l’instant ça me plait, mais ça commence à dérailler un peu, parce que les gens maintenant ils sont en camping-car mais ils veulent le standing d’un 3 ou d’un 4 étoiles. Donc ca vas plus…»
M. H., Le Palus, avril 2018.
L’Arcouest, Ploubazlanec, août 2018
« - Sur l’année on part 3 à 4 mois. - Là on fait qu’un petit séjour, après on rentre pour garder les petites filles. - Après fin aout on part fin aout pour aller sur le midi pour reprendre là ou on s’est arrêté l’année dernière à Ales. On va longer la côte d’azur pour remonter ensuite la route Napoléon vers la haute Savoie. On va tacher de faire ça tranquillement sur deux mois, deux mois et demi. - On a longé la Loire, c’est très joli. - On a fait l’étranger on a fait la hollande cette année, on l’avait déjà fait, on a fait l’Autriche, l‘Allemagne, la Bavière en Allemagne, le Tyrol en Autriche. On a aussi fait l’Espagne un peu. On roule il a maintenant 72.000 km on l’a eu à 8000. - Mais on part pas trop l’été, on laisse la place au gens qui travaille, et puis j’aime pas trop me trouver dans la cohue. - On part le plus de septembre à la mi-novembre. Ca dépend de la météo, l’hiver il est ramassé.»
M. et Mme. L., Hillion, juin 2018
L’Arcouest, Ploubazlanec, août 2018
« Celui là je l’ai depuis très peu de temps, 3 mois, d’occasion toujours. J’en ai acheté un de neuf j’ai été déçu donc depuis j’achète d’occasion. C’est le 14 eme en 15 ans. Des fois je les garde très peu de temps des fois 3 mois. Le premier que j’ai acheté, je ne connaissais pas bien les camping-cars, il me plaisait pas du tout, donc je l’ai revendu. Et ainsi de suite. Jusqu’à ce que je trouve le modèle que je voulais. Je suis passé du profilé à l’intégral. L’intégral c’était le lit sur soute. On cherchait des lits jumeaux, et voilà on vient de le trouver. On a mis 6 mois pour le trouver mais ça y est. »
M. C., Hillion, avril 2018.
L’Arcouest, Ploubazlanec, août 2018
Ploubazlanec, 1 Route de l'Embarcadère GPS : N 48°49’10.9128” W -3°1’12.036” Adresse : 1 Route de l'Embarcadère, 22620 Ploubazlanec
Parking embarcadère camping-car 8 € par tranche de 24h à la pointe de LARCOUEST Id : 4022 - Créé le 30 07 2012 par titounet69
le 24 11 2018 Nuit très calme, parking dédié aux camping-cars, gratuit, barrière ouverte en cette saison c-drik
le 7 10 2018 Nuit très calme, parfait pour aller visiter l'île Brehat mais 8 euros pour 24h et sans service... lololecheminot
le 24 08 2018 Super pour visiter Breat et voir les marais, je le recommande happy12
le 14 08 2018 Sehr schöner Stellplatz für WoMo, direkt am Meer, 2 Stunden kann man gratis parken, danach €8,00 für 24h. WC vorhanden Lewi44
le 10 05 2018 Le seul intérêt est que c'est un parking pour visiter l'île Bréhat à la journée. Une demi-heure pour payer, pareil pour en sortir. Le système n'est vraiment pas adapté avec l'affluence. tounkayen
le 22 07 2017 Effectivement 7 euros les 24h avec voiture sur parking camping-car comme d'habitude et camping-car garer comme des m... de peur de quoi ? Si tout le monde fait pareil ?? sinon tranquille avec coucher de soleil en face jack71
le 5 05 2017 Le parking est très grand. Les barrières sont restées ouvertes toute la journée et toute la nuit mais nous ne savons pas si c'est exceptionnel.Possibilité de passer largement sous la barre avec un van (maximum 2,10 m) place camping-car ok beaucoup de vent, coucher du soleil magnifique. emeuh

park4night.com

« Alors que le pouvoir d’achat est actuellement une préoccupation majeure, les adeptes des véhicules de loisirs ont compris que ces derniers leur permettaient d’optimiser le budget dédié à leur temps libre. Choix de sa destination et prix des denrées achetées ou des services proposés au meilleur coût, chacun peut profiter de ses loisirs au tarif le plus juste. »**


A l’arrivée des beaux jours les campings cars par dizaines entament leur migration annuelle vers les plages. L’enjeu majeur est alors de s’assurer une bonne place pour la nuit sur une aire de stationnement située au plus proche du littoral. Une fois cet emplacement trouvé la vie s’organise. C’est alors, au pied du véhicule et à ses alentours immédiats, que les vacanciers mettent en place le campement.
Dans cette série photographique le regard se focalise sur un double rapport, d’une part, celui de ces vacanciers au paysage côtier, d’autre part, celui qu’ils entretiennent avec les aires de stationnement. L’attention est alors dirigée sur les espaces, que s’approprient très temporairement les camping caristes, situés notamment au pied de la porte et entre les différents véhicules.


* Ce titre est un emprunt à la campagne publicitaire pour les VDL lancée par UNI VDL en 1990. Cette campagne comportait “352 spots de 30 secondes chacun seront à l’antenne d’ Europe 1, de RTL, RMC, France Info, France Inter et France Bleu pendant trois week-ends consécutifs du 26 au 28 février, du 5 au 7 mars et du 12 au 14 mars”.
** François Feuillet, Président d’uni VDL (Les entreprises du Véhicule De Loisir) sur le site de UNI VDL.


Développé dans le cadre du projet IMTERPED avec l’aide de la Fondation de France et de la DRAC Bretagne.